AMICAL : USO - VIERZON FOOT (26 JUILLET 06)

US ORLEANS MAITRISE SON SUJET...

ARTICLE PARU DANS LA REP DU JEUDI 27 JUILLET 2006 : L'US ORLEANS A PLUTOT BIEN MAITRISE SON SUJET FACE A VIERZON (5-1). - Cinq buteurs différents ont permis aux Orléanais de l'emporter, hier soir, à VOUZON." On monte tout doucement en puissance" relève Pascal MOULIN. "Il y a eu de bonnes choses, compte tenu de l'état de fatigue général suite aux trois grosses séances d'entraînement que l'on vient d'effectuer. On monte tout doucement en puissance." Pascal MOULIN, l'entraîneur de l'US ORLEANS, se montrait satisfait, hier soir, à VOUZON(Loir-et-Cher), au terme du match amical largement remporté par ses troupes (5-1) face à VIERZON, pensionnaire de CFA2... jusqu'à son repêchage? C'est dans un cadre champêtre arbitre (non officiel) en sandales, causeries sur la pelouse à la mi-temps-et surchauffé que les Orléanais ont construit leur succès. La première mi-temps, assez enlevée, a suffi à creuser un écart. Julien Ritas ouvrait la voie : héritant d'un ballon mal dégagé aux 20 mètres, dans l'axe, il ajustait Christophe Ménagé (1-0, 11e°). Deux minutes plus tard, Akim Orinel - jeune Stéphanois mis à l'éssai hier, alors que Pascal MOULIN n'a pas conservé les précédents joueurs "testés" en amical- héritait d'une longue ouverture pour débouler côté gauche et centrer en retrait vers Ladislas Douniama (2-0). DE 2-1 A 4-1 EN 5 MINUTES. Vierzon revenait dans la partie par Radouane Farhan. Il obligeait d'abord Cyril Garcia à un arrêt du pied (16e). Puis, le Vierzonnais, de loin, enroulait superbement sa frappe, qui allait se loger dans la lucarne (2-1, 23e). Le match devenait houleux, avec quelques mauvais coups distribués çà et là. Puis, l'USO reprenait sa marche en avant. Un pénalty-grosse faute sur Douniama... peut-être hors de la surface-était transformé par Orinel (3-1, 33e). Le centre de la gauche de Dingam-Rob Boldum trouvait ensuite Boris Mahon de Monaghan dans les 16 mètres. Contrôle de la poitrine-frappe : superbe (4-1, 38e)! Les neufs changements effectués à la pause (cinq côté Orléanais) n'allaient pas apporter de "peps" particulier à la suite des débats plutôt monotones. Seul un "une-deux" entre Henri-Michel Gbizié et Romain Ayrinhac trouvait la faille (5-1, 62e).