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L'USO ARAGO, SANG ET OR
22 mars 2008

CFA : STADE BORDEAUX - USO 1-1 (22/03/08)

Orléans se réveille après la pause

Le match nul de l’USO en terre bordelaise est venu sanctionner une partie équilibrée. Orinel a égalisé en fin de match sur un coup de franc magistral.

Orléans a signé au Stade Bordelais le 14ème nul de la saison, décroché en fin de partie grâce un but d’Orinel. Pourtant avec une arrière garde de Bordeaux renforcée, les Orléanais étaient acculés, d’entrée, dans leur moitié de terrain. A l’image de Benwadhi (3ème) et Comberton (5ème), les partenaires de Loumandet tentaient de forcer le destin dès les premières minutes. Dia n’était pas plus heureux (13ème). Puis avec un Mahon de Monaghan repositionné un cran plus haut, les joueurs de Stéphane Grégoire retrouvaient des couleurs. Seulement sous l’impulsion de Ferreira très en verve, Bordeaux dominait encore les débats.

L’arbitre interrompait durant une dizaine de minutes, en raison d’un orage de grêle, une partie jouée jusqu’ici sur un rythme assez élevé. Les Bordelais avaient toujours la main mise sur le déroulement des opérations quand Orléans faisait de la résistance, avec un vigilant Renault dans sa cage. Le Stade Bordelais était toutefois récompensé de ses efforts lorsque Benwadhi dans le couloir gauche était contré par la défense centrale adverse. Et le cuir parvenait dans les pieds de Dia qui, au terme d’une longue course, battait le portier Orléanais (1-0, 43ème). A la pause les Bordelais viraient logiquement en tête.

Au retour des vestiaires, la physionomie du match changeait. Sous l’impulsion d’Orinel qui faisait montre de sa belle technique dans la distribution de jeu, et de Mahon de Monaghan efficace dans la récupération, Orléans avait, à son tour, la maîtrise du ballon. Les Bordelais semblaient dépassés devant la pression adverse. Mais les minutes passaient et les Orléanais se heurtaient à la défense regroupée autour de Barata. Malgré ses efforts, l’USO ne parvenait pas à combler son handicap, jusqu’à ce magistral coup franc d’Orinel (photo) ajusté des 35m. L’égalisation était fort méritée et Orléans essayait même de renverser la vapeur dans les ultimes minutes, face à un Stade Bordelais au bord de la rupture.

La République du Centre

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